Léonard
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1 mars 2025
Bangkok en mode digital nomad


Bangkok par la fenêtre de mon bureau.
Business
Chercher l’équilibre à l’autre bout du monde
En mars 2025, je débarque à Bangkok avec l’envie de ralentir. Cette fois, pas de grandes ambitions touristiques, pas de frénésie de découverte. Je sors d’une période intérieurement floue, un peu pesante, où l’idée de repartir à l’aventure m’épuise plus qu’elle ne m’excite. Alors au lieu de vadrouiller, je décide de faire tout l’inverse : m’installer et structurer une vie quotidienne dans un endroit totalement nouveau.
Je loue un appartement dans un quartier calme et cosmopolite. Un building moderne avec piscine sur le toit, salle de sport, cafés bien tenus au coin de la rue. Le genre d’endroit qui coche toutes les cases du mode de vie digital nomade. Et je plonge dedans sans retenue. Ce n’est pas l’exploration que je cherche, mais la répétition. Le confort, la rigueur, le cadre. Bangkok devient mon point d’ancrage, à quinze heures de vol de chez moi, pour tester quelque chose d’essentiel : est-ce que je peux réellement bien travailler, à long terme, en étant ailleurs ?
Travailler loin, travailler fort
Très vite, ma vie s’organise avec une efficacité presque militaire. Je me lève tôt, je marche jusqu’à la salle de sport, je m’entraîne plusieurs fois par semaine. Je cours, je cuisine, je dors bien. Et surtout : je bosse. Beaucoup. Je structure mes journées autour de blocs de travail intenses, je reprends les rênes de mon activité en freelance, je relance mon label musical Sans Huile de Palme avec une nouvelle direction claire. C’est à Bangkok que je décide de me recentrer, de trier, de réorganiser.
Aussi, je noue une relation artistique à distance avec Voke, un producteur parisien avec qui je développe un plan de sortie, des contenus, une nouvelle dynamique. On échange presque tous les jours et le premier single de cette nouvelle série sort à la fin du mois. C’est aussi à ce moment-là que je reprends la création de contenu, que je clarifie mon positionnement professionnel, que je structure enfin un équilibre entre mes projets digitaux, mon rôle de directeur artistique dans la musique et mon mode de vie nomade.
Ce mois-là, je découvre ce que signifie réellement “travailler ailleurs”. Non pas en dilettante, entre deux couchers de soleil, mais avec un vrai niveau d’intensité. Et Bangkok, malgré le bruit et l’agitation, m’offre une forme de paix. Une stabilité. Tout est réuni pour que je performe : le cadre, l’énergie, la nourriture, la météo. C’est exactement ce dont j’avais besoin : une zone de clarté.
Une autre forme d’aventure
La semaine, je travaille. Mais le week-end, je sors, je marche, je découvre. Je visite des temples, des quartiers traditionnels, je me perds dans les marchés, je me laisse happer par le chaos vibrant de certaines rues. Bangkok est immense, vivante, fascinante. Ce voyage-là n’était pas une quête de paysages ni un besoin d’exotisme. Ce n’était pas un road trip, ni une parenthèse contemplative. C’était une aventure intérieure, professionnelle et structurelle. J’ai passé un mois à l’autre bout du monde à vivre comme je pourrais vivre n’importe où, avec le même niveau d’engagement dans mon travail et la même exigence dans mes routines.
Et ça a marché. J’ai prouvé quelque chose à moi-même : je peux fonctionner pleinement, à l’autre bout du monde, tout en cultivant une hygiène de vie irréprochable et en laissant une place à la découverte. En fait, je peux construire, gérer, produire, même en étant loin. Peut-être même parce que je suis loin.
Chercher l’équilibre à l’autre bout du monde
En mars 2025, je débarque à Bangkok avec l’envie de ralentir. Cette fois, pas de grandes ambitions touristiques, pas de frénésie de découverte. Je sors d’une période intérieurement floue, un peu pesante, où l’idée de repartir à l’aventure m’épuise plus qu’elle ne m’excite. Alors au lieu de vadrouiller, je décide de faire tout l’inverse : m’installer et structurer une vie quotidienne dans un endroit totalement nouveau.
Je loue un appartement dans un quartier calme et cosmopolite. Un building moderne avec piscine sur le toit, salle de sport, cafés bien tenus au coin de la rue. Le genre d’endroit qui coche toutes les cases du mode de vie digital nomade. Et je plonge dedans sans retenue. Ce n’est pas l’exploration que je cherche, mais la répétition. Le confort, la rigueur, le cadre. Bangkok devient mon point d’ancrage, à quinze heures de vol de chez moi, pour tester quelque chose d’essentiel : est-ce que je peux réellement bien travailler, à long terme, en étant ailleurs ?
Travailler loin, travailler fort
Très vite, ma vie s’organise avec une efficacité presque militaire. Je me lève tôt, je marche jusqu’à la salle de sport, je m’entraîne plusieurs fois par semaine. Je cours, je cuisine, je dors bien. Et surtout : je bosse. Beaucoup. Je structure mes journées autour de blocs de travail intenses, je reprends les rênes de mon activité en freelance, je relance mon label musical Sans Huile de Palme avec une nouvelle direction claire. C’est à Bangkok que je décide de me recentrer, de trier, de réorganiser.
Aussi, je noue une relation artistique à distance avec Voke, un producteur parisien avec qui je développe un plan de sortie, des contenus, une nouvelle dynamique. On échange presque tous les jours et le premier single de cette nouvelle série sort à la fin du mois. C’est aussi à ce moment-là que je reprends la création de contenu, que je clarifie mon positionnement professionnel, que je structure enfin un équilibre entre mes projets digitaux, mon rôle de directeur artistique dans la musique et mon mode de vie nomade.
Ce mois-là, je découvre ce que signifie réellement “travailler ailleurs”. Non pas en dilettante, entre deux couchers de soleil, mais avec un vrai niveau d’intensité. Et Bangkok, malgré le bruit et l’agitation, m’offre une forme de paix. Une stabilité. Tout est réuni pour que je performe : le cadre, l’énergie, la nourriture, la météo. C’est exactement ce dont j’avais besoin : une zone de clarté.
Une autre forme d’aventure
La semaine, je travaille. Mais le week-end, je sors, je marche, je découvre. Je visite des temples, des quartiers traditionnels, je me perds dans les marchés, je me laisse happer par le chaos vibrant de certaines rues. Bangkok est immense, vivante, fascinante. Ce voyage-là n’était pas une quête de paysages ni un besoin d’exotisme. Ce n’était pas un road trip, ni une parenthèse contemplative. C’était une aventure intérieure, professionnelle et structurelle. J’ai passé un mois à l’autre bout du monde à vivre comme je pourrais vivre n’importe où, avec le même niveau d’engagement dans mon travail et la même exigence dans mes routines.
Et ça a marché. J’ai prouvé quelque chose à moi-même : je peux fonctionner pleinement, à l’autre bout du monde, tout en cultivant une hygiène de vie irréprochable et en laissant une place à la découverte. En fait, je peux construire, gérer, produire, même en étant loin. Peut-être même parce que je suis loin.


Léonard


